En première lecture, cette phrase ne m'avait pas touché, peut-être parce que je ne me sentais pas véritablement en adultère.
Et cependant, le commentaire de Jean Paul II, qui consacre plusieurs mercredi sur ce thème nous permet de prendre la mesure de la nature même de notre regard, y compris sur notre propre épouse. Et l'on mesure, que notre regard n'est pas souvent un regard de personne à personne, mais bien celui d'un homme du haut d'une tour (cf. infra), qui regarde l'autre comme objet et lui refuse sa place de personne, d'autre...
Il y a donc un chemin intérieur à parcourir, un chemin qui est "descente de tour"...
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