Jamais le violon solitaire,
la flute perdue dans la montagne,
fut-elle belle est harmonieuse,
ne remplacera la construction, ensemble,
d'une symphonie des coeurs et des âmes.
Et pourtant, au delà de cette édifice,
résiste une solitude.
Car la symphonie des âmes reste désir,
d'une symphonie plus grande, celle de la Cité de Dieu.
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